OpenTripPlanner
logiciel libre de calcul d'itinéraire (recherche d'itinéraire et analyse de l'offre multimodale)
OpenTripPlanner (OTP) est un logiciel open-source conçu pour la planification d’itinéraires multimodaux qui intègre les transports en commun, le vélo, la marche, et la voiture. Il est fortement basé sur des données ouvertes, notamment OpenStreetMap pour les données cartographiques et le GTFS pour les horaires de transports en commun.
Le logiciel est largement adopté dans le monde pour des applications de planification d’itinéraires en ligne, des applications mobiles de navigation, et des projets de recherche en mobilité urbaine. Il est au cœur des calculateurs d’itinéraires nationaux des pays d’Europe du Nord (Norvège, Suède, Finlande), mais aussi de nombreuses autres régions autour du monde.
Type de commun
OpenTripPlanner est un commun d’infrastructure, car ses outils servent de base technique pour un ensemble de services et d’utilisateurs.
Il peut aussi être considéré comme un commun de filière au service des territoires et des autorités organisatrices de la mobilité. Ces derniers mutualisent leurs efforts et investissement dans le but, partagé, d’informer les voyageurs des alternatives à la mobilité carbonée.
Les 3 piliers
Ressource
Le composant le plus utilisé d’OpenTripPlanner est son application Java du côté serveur, principalement destinée à lire et fusionner des ensembles de données sur les cartes (OSM), les services de transport en commun (GTFS, NETEX) et d’autres données de mobilité (taxi, transport à la demande, mobilités en libre-service). Elle offre des points d’accès API qui, sur réception des points de départ et d’arrivée des utilisateurs, fournissent des plans de voyage exploitables par d’autres applications, ainsi que des cartes vectorielles, des informations sur les départs aux arrêts, et d’autres renseignements utiles aux voyageurs.
Autrement dit, OpenTripPlanner sert d’application en backend capable de s’intégrer à différentes interfaces utilisateurs frontend. Que ce soit sur un site web, une application mobile, un affichage physique ou tout autre type d’application.
Il n’existe pas d’interface utilisateur officielle pour OpenTripPlanner, mais des projets ouverts, comme OTP-react-redux et Digitransit-UI existent néanmoins. La conception visuelle de l’implémentation d’OpenTripPlanner est donc entièrement laissée à la discrétion de l’opérateur. Ce dernier peut donc utiliser le commun de manière transparente, avec son propre applicatif utilisateur (fonctionnalité et habillage).
Ce composant backend central est aussi entouré d’un ensemble d’outil et plugins créés par la communauté et ses acteurs pour compléter, vérifier et traduire les données en cas d’usage. L’image ci-dessous illustre cette diversité pour l’acteur de transport Norvégien Entur. Une puissance publique très ouverte sur l’open source utilisant OpenTripPlanner comme brique centrale.
Communauté
Entur n’est pas le seul acteur de la communauté autour du commun. Elle est en effet composée de concepteurs de logiciels, d’opérateurs de transports, de gouvernements, d’associations, d’universités et d’indépendants. Le projet s’illustre dans cette diversité d’acteurs internationaux et leur fonctionnement décentralisé. OTP est l’un de ces projets open source à grande échelle qui ne gravitent pas autour d’un acteur pivot unique.
Les acteurs les plus actifs prennent part au “Project Leadership Commitee” (PLC). La composition de celui-ci résume bien le type de membre de la communauté.
Composition du PLC début 2024:
- University of South Florida
- Cambridge Systematics
- Conveyal / CALACT ITS4US / Washington State Department of Transportation
- IBI Group / Marta.ai
- Entur AS (Norway)
- Transpordiamet (Estonia)
- Digitransit (Finland)
- TriMet (Portland)
- Skånetrafiken (Sweden)
- David Turner (ex-Openplans)
- Leonard Ehrenfried (Independent developer)
Gouvernance
Le projet dispose d’une gouvernance très mature qui s’entend à plusieurs niveaux.
Le PLC (project leadership commitee) supervise la vision du commun, il définit la stratégie globale et tranche en cas de conflits. Le comité se réunit trimestriellement et partage ses comptes rendus de manière publique.
Le commun est incubé au sein de la Software Freedom Conservancy (SFC) pour les aspects légaux et financiers. C’est par ce medium que le PLC peut, par exemple, décider de financer un recrutement spécifique au commun. Un sujet qui se pose depuis fin 2023, avec la considération d'une ouverture de poste pour un Community Development Manager. C’est une nouveauté, le projet n’ayant pas de fonds propres jusqu’ici (uniquement un montant minimal de dons via la SFC, et des développements intégralement pro bono). Un modèle d'adhésions est aussi en cours de discussion par le PLC pour sécuriser ce type de dépenses.
Afin de convertir la vision du PLC en une feuille de route, les “product owners” se rencontrent mensuellement pour définir et prioriser les fonctionnalités des prochains mois. Ce temps d’échange a lieu les premiers mardi de chaque mois et est ouvert à tous les membres de la communauté. Les comptes rendus sont aussi accessibles librement.
Enfin, les développeurs implémentent cette feuille de route au jour-le-jour. Des points techniques s’organisent deux fois par semaine, avec des échanges portant sur les priorités du jour, les prochaines version des logiciels ou encore sur des clarifications techniques. Le moyen de communication privilégié pour ces thématiques est le tchat gitter du projet.
Acteurs et rôles
Les acteurs principaux sont divisés en rôles. Notre guide méthodologique des communs numériques de la mobilité permet de mieux comprendre les missions de chaque rôle.
- Source: Trimet (opérateur public de transports, gestionnaire du métro léger et du tramway de Portland)
- Opérateurs, animateurs: Historiquement Conveyal (ex-Openplans), désormais partagée avec le PLC
- Garant: Software Freedom Conservancy
- Contributeurs / membres: Ils sont nombreux, la journée de rencontre “OTP Open Days 2023” à Valences en cite une partie, avec 10 entreprises concepteurs de logiciels, 8 opérateurs de transport ou agences gouvernementales, 3 associations de mobilité (dont La Fabrique des Mobilités Québec), 2 universités et 2 indépendants
- Sponsors, acteurs publics: Les sponsors ne financent pas le projet directement, mais plutôt l’écosystème d’acteurs qui viennent ajouter des fonctionnalités. Ces acteurs sont généralement internalisés aux organisations sponsors. Les organisations sont souvent des agences gouvernementales comme TriMet, Le ministère des Transports des Pays-Bas (V&W), l’opérateur de transport de la région d’Helsinki (HSL), l’opérateur de transports d’Olso et Akershus (Ruter), le ministère des Transports Norvégien (Entur)…
Maturité
Avec sa version 2.0 et le renouveau communautaire associé, OpenTripPlanner est un commun très mature. Il est déployé aux échelles régionales et nationales dans de nombreux pays, et ce, depuis quelques années.
Autour de sa brique cœur, le projet bénéficie aussi de toute une galaxie d’outils connexes conçus pour s’adapter aux cas d’usages de chacun. Ces outils sont utiles pour traiter et valider les données provenant de multiples sources, mais aussi pour vérifier et valoriser les résultats du calculateur.
Cependant, malgré de grands progrès de performance ces dernières années, le projet atteint tout de même ses limites à très large échelle (européenne par exemple). Une considération à prendre en compte pour un déploiement sur l’ensemble du territoire français, qui deviendrait l’instance OpenTripPlanner couvrant le plus de population.
La Direction générale des Infrastructures, des Transports et des Mobilités (DGITM) s’intéressé tout de même au sujet, avec la commande d’une étude en février 2024 visant à établir la faisabilité et les couts d’OpenTripPlanner version 2 à l’échelle de la France. Une mise en place théoriquement facilitée par les efforts antécédents sur le Point d’Accès National aux données de transport, transport.data.gouv.fr.
Types d’utilisateurs
Comme souvent pour les communs, on distingue deux types d’utilisateurs, directs et indirects.
Les utilisateurs directs sont contributeurs ou opérateurs d’une instance (installation) du logiciel. On y retrouve:
- Des entreprises de logiciel (startup mobilité, ou concepteur au service des collectivités).
- Des opérateurs de Transports en communs ou des gouvernements directement (AOM, voir ministères).
- Des associations de mobilité (fédérateurs de collectivités et AOM, organismes de standardisation ou associations à mission, comme la Fabrique des Mobilités Québec).
- Des Universités et chercheurs (plus historique, OTP redirige désormais cette communauté vers l’outil R5, conçu pour la recherche).
- Des indépendants, en minorité, mais dont l’impact communautaire est essentiel, car ce sont eux qui font vivre le commun et la connaissance associée lorsque le support institutionnel faiblit.
Les utilisateurs indirects sont bénéficiaires des outils et applications qui se basent sur le commun. Par exemple, les citoyens via leurs applications de mobilité qui n’affichent généralement pas qu’elles se basent sur OpenTripPlanner. On retrouve aussi dans cette catégorie les producteur de données (GTFS, NETEX, SIRI, mais aussi OSM), le commun étant suffisamment massif pour encourager et formater le partage des données dans certains cas.
Fonctionnalités et bénéfices
Agences de transport
Les agences de transport peuvent utiliser OTP comme le système cœur de leurs planificateurs de trajet, qu’ils soient sur leur site web/app public ou en interne, destiné à leur équipe de service client.
- L’outil est entièrement personnalisable pour une utilisation avec n’importe quelle interface utilisateur.
- Il permet une planification de trajet à haute performance, pour un grand nombre d’utilisateurs.
- Les itinéraires sont entièrement multimodaux, incluant la marche, le vélo personnel ou libre-service, les services à la demande etc…
- Les utilisateurs peuvent bénéficier d’alertes en temps réel et d’une réorientation dynamique du trajet, basée sur les retards en temps réel et les positions des véhicules.
- La configuration s’adapte aux conditions locales et personnelles, avec des paramètres de calcul des coûts dynamiques incluant le mode de transport privilégié, le temps, les transferts, et d’autres préférences, tout en livrant des résultats équilibrés.
- Un backend OTP peut alimenter à la fois un site web et une application pour les usagers, ainsi qu’une interface utilisateur séparée avec une configuration différente pour l’équipe de service client.
- Le commun bénéficie d’une communauté très active, avec des développements portés par des dizaines d’agences internationales. Résultant en nombre de nouvelles fonctionnalités chaque année.
Régions, pays et entités privées
Les gouvernements régionaux, provinciaux ou nationaux, ou toute entité privée, peuvent mettre en place un planificateur de trajet incluant plusieurs agences de transport. Cette intégration de multiples sources s’accompagne de fonctionnalités telles que le calcul des tarifs inter-agences et l’intégration modes de transport fournis par de multiples acteurs (par exemple, vélos libre-service et transports à la demande).
Chercheurs
Bien qu’historiquement, OpenTripPlanner ait souvent été utilisé par les chercheurs pour le calcul programmatique dans la planification des mobilités, cela n’est plus un cas d’utilisation prévu d’OTP. L’outil reste apte à la réalisation de ces études, mais des outils comme r5 sont plus appropriées.
Associations de Mobilité
Les associations professionnelles trouvent dans le commun une ressource gratuite à partager et parfois mutualiser avec leurs membres.
Les associations et fondations formées autour des standards (GTFS, NETEX, SIRI) s’intéressent au commun comme un moyen de tester, diffuser ou simplement d’utiliser les normes qu’elles proposent.
Enfin, les associations à mission défendent OpenTripPlanner comme une alternative aux GAFAM qui dominent le marché du calcul d’itinéraire en nombre d’utilisateurs. Un argument fort que l’on retrouve aussi pour le reste des utilisateurs du commun.
Comment l’utiliser
La documentation et tutoriel d’utilisations du projet sont très clairs et disponibles sur le site d’OpenTripPlanner.
La fabrique des mobilités Québec propose aussi quelques compléments à cette documentation sur la page wiki de son planificateur.
Comment contribuer
Il est généralement recommandé d’installer et d’utiliser le logiciel avant de rejoindre la communauté des contributeurs. Cette dernière s’organise autour des différentes instances décrites dans la partie gouvernance ci-avant. Ce peut être un bon point d’entrée.
Le site du projet contient aussi un guide destiné aux développeurs.
Dans l’ensemble, la communauté étant très active, elle encourage les contributeurs à éviter les forks (branche de développement connexe aux développements principaux), en particulier sur les modifications touchant au cœur du projet. Une présentation explique les conséquences de ce travail asynchrone.
Démonstrateur
Par sa nature d’infrastructure numérique, un démonstrateur d’OpenTripPlanner va forcément de paire avec une démonstration d’une interface utilisateur utilisant ce dernier.
Citons par exemple M pour la mobilité sur l’Aire Grenobloise ou à plus petite échelle le plannificateur à Québec.
Des présentations sont aussi disponibles pour comprendre les fonctionnalités de la solution cœur, comme cette introduction par Entur au FOSDEM 2023 (un évènement incontournable pour le logiciel libre en Europe).
Usages actuels
Une liste des principales utilisations d’OpenTripPlanner par des organismes publics ou parapublics est disponible sur le site du projet. Généralement, ce sont les mêmes acteurs que ceux participants à la gouvernance.
En France, les utilisateurs ayant expérimenté avec OTP sont le Syndicat Mixte des Mobilités de l’aire Grenobloise (SMMAG), le réseau Star à Rennes, Alto à Alençon et le MaaS Modalis pour Nouvelle-Aquitaine Mobilités. A date, seul le SMMAG continue de proposer un service citoyen basé sur le coeur du commun.
Ces exemples utilisent principalement la brique de calcul d’itinéraire pour les citoyens. Cependant, les usages s’entendent grâce aux fonctionnalités d’aide à la décision pour les opérateurs de transport, notamment via des cartes isochrones ou des analyses de temps de parcours.
Usages potentiels
En 2024, le projet est activement développé par une douzaine d’agences. Il est donc difficile de définir des usages potentiels qui ne seront pas développés dans les prochains mois. Pour consulter une liste à jour, la feuille de route est disponible sur le GitHub du commun.
Néanmois, ces améliorations peuvent prendre la forme d’un support pour l’ensemble des champs définis par les standards, par exemple les trajet multimodaux avec une étape dans un stationnement de mobilité partagée prévue par le GBFS. La question d’instances multi-étatiques est aussi posée, avec de bons premiers résultats sur les trajets longue distance dans les pays nordiques.
Enfin, citons les efforts visant à réduire la possibilité de manipulation du système par des opérateurs de transports privés qui peuvent par exemple positionner leurs horaires en fonction de leurs concurrents (une seconde avant) afin d’être mis en avant dans le logiciel, résultant en un service inéquitable.
Retour expérience et historique
Historique
Création et premières versions (2009-2011)
- Acteurs clés : TriMet (agence de transports publics de Portland, Oregon), développeurs principaux tels que David Emory de FivePoints, Brian Ferris de OneBusAway, and Brandon Martin-Anderson de Graphserver. Coordination par OpenPlans, devenu Conveyal.
- Événements : Lancement du projet, développement des premières versions avec intégration des données GTFS et OpenStreetMap.
Expansion et améliorations (2012-2014)
- Acteurs clés : Communauté de développeurs open-source grandissante, agences de transport en commun adoptant OTP (Portland, 5 entreprises soutenues par le gouvernement des Pays-Bas).
- Événements : Améliorations des fonctionnalités, optimisation des algorithmes, intégration des données en temps réel. Intégration au SFC.
Consolidation (2015-2016)
- Acteurs clés : Équipe OTP, Conveyal (consultants en mobilité et contributeurs clés au projet). Washington DC, State of New York, Helskinki, Oslo puis instances nationales en Finland et Norvège.
- Événements : Sortie officielle d’OTP V1 en septembre 2026, 100 contributeurs.
OTP2 et évolution continue (2016 et au-delà)
- Acteurs clés : Communauté OTP, agences de transport en commun internationales (Ruter & Entur), organisations partenaires.
- Événements : OTP international summits, Réunions bimensuelles de 2019 à 2021 pour préparer le lancement d’OTP2 en novembre 2020. Nouvel algorithme performant (RAPTOR), support NETEX, freefloating, nouveaux modes (trottinettes), meilleur temps réel par exemple sur les parkings, plugins (par exemple pour assurer le support de SIRI)
Retours d’expérience
Les calculateurs d’itinéraires open source son nombreux, et se basent généralement sur les mêmes technologies, sources de données et algorithmes. Les principaux sont OpenTripPlanner, R5, Motis, Open Route Service, Graphhopper, Valhalla, OSRM, pgRouting, Navitia, BRouter et Itinero. Chacun à ses spécificités et le choix dépend souvent des cas d’usage. Au service des états et régions, c’est habituellement OpenTripPlanner qui est choisi après analyses, une preuve de sa pertinence dans ce cas d’usage.
L’argument principal mis en avant est l’aspect communautaire du projet, jugé plus important que sa performance. C’est un constat partagé par la région allemande de Baden-Württemberg lors d’un état des lieux en 2022
Impact écologique
Le succès du report modal passe par la présence d’infrastructures et d’offres d’alternatives moins carbonnés. La découverte et la visibilité de ces offres est indispensable à leur succès. C’est la première étape d’une mobilité servicielle: l’information voyageur.
Un des outils clés pour diffuser cette information sont les calculateurs d’intinéraires, en particulier dans le secteur multimodal des transport en communs et des mobilités douces.
OpenTripPlanner, comme les autres calculateurs d’itinéraires, participe donc à la réduction des déplacements en vehicule thermique sans passagers.
Les actions de la Fabrique des Mobilités
De part ses travaux sur les communs et les infrastructures numériques pour la mobilité, la Fabrique des Mobilités facilite la diffusion de contenu et les échanges sur OpenTripPlanner depuis ses débuts. Par exemple, avec une présentation du projet en 2019.
Plus récemment (2024), les travaux poussés par le gouvernement Français autour du titre unique relance les échanges, l’association partage alors les retours et expériences des experts qui se sont essayés au commun. Elle organise notamment un voyage apprennant en Norvège pour aller à la rencontre de ces acteurs utilisateurs (pour en savoir plus).
De l’autre côté de l’atlantique, la Fabrique des Mobilités Québec est aussi active sur le commun, avec la mise en place d’une preuve de concept à Québec.
Organisations utilisatrices ou intéressées pour utiliser la ressource : Stoomlink
Contributeur(s) :
Tags : analyse-de-desserte, calcul-d'itinéraire, isochrones
Catégories : Logiciel
Thème : Open Street Map OSM, Accessibilité dans les transports, Données ouvertes, Logiciel Libre
Référent :
Défi auquel répond la ressource : Augmenter les connaissances partagées en cartographie et usages des véhicules et réseaux de transports, Rendre accessible une mobilité individuelle à bas coût pour tous sans externalités négatives
Personnes clés à solliciter :
Autre commun proche : GTFS-flex standard
Richesse recherchée :
Compétences recherchées :
Communauté d'intérêt : Communauté autour des données ouvertes, Communauté du Logiciel Libre, Communauté des Communs Numériques de la Mobilité
Type de licence :
Conditions Générales d’Utilisation (CGU) :
Niveau de développement :
Lien vers l’outil de gestion des actions :
Lien vers l’outil de partage de fichiers :
Besoins :
Prochaines étapes :
Documentation des expérimentations :
Autres informations
Liste des acteurs qui utilisent ou souhaitent utiliser ce commun :
Liste des CR d’atelier en lien avec ce commun :